Exposition "de Beauduc à Piémanson… l’histoire continue " - Photos de Bruno Redares
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© Bruno Redares
Exposition "de Beauduc à Piémanson… l’histoire continue " - Photos de Bruno Redares - 31263919
Au début des années 60, Bruno Redares découvre, lors des sorties familiales, les plages d’Arles et les premiers plaisirs du bord de mer.
C’étaient, pour ses parents et leurs enfants, ces dimanches d’été, de belles journées de retrouvailles, de baignades et de jeux sur le sable… Bien sûr, ces souvenirs sont lointains, peu ancrés dans la mémoire des enfants, mais la photographie témoigne du début de son histoire.
Plus tard, au milieu des années 70, le décor reste le même mais les orientations changent. Finies les sorties familiales : c’est l’adolescence, les premières virées en « Mob », les nuits sous la tente en camping sauvage, sur l’immensité de la plage quasiment déserte de Piémanson ou encore au petit port et sur les plages très fermés du Grau de la Dent, réservés aux Saliniers.
Quelques années plus tard, au début de la décennie 80, la voiture remplace la mobylette, la tente est désormais dans le coffre et Beauduc devient la plage tendance avec ses cabanons, ses vieilles caravanes et autobus reconvertis pour une nouvelle vie (et qui finiront sur place) le temps de week-ends et petits séjours… En plus des festivités diurnes et nocturnes, les sorties en bateau et la pêche font également partie du programme.
Une dizaine d’années plus tard, un nouvel épisode s’inscrit, court toujours et reste « gravé dans le marbre »… la photographie, la photographie de Nu ! Depuis 1994, du printemps à l’automne, les plages d’Arles restent pour lui le terrain de jeu photographique par excellence, avec des décors très variés et changeants selon la lumière et la saison.
De Beauduc à Piémanson, en plusieurs décennies, de nombreux changements se sont opérés et continuent de s’opérer, à la fois sous l’effet de l’action humaine (démolition des cabanons sur l’espace littoral, accès limités, camping sauvage interdit...) mais également climatiques (montée des eaux, plages réduites ou disparues, pistes coupées…)... la nature reprend désormais ses droits, et l’on retrouve le côté sauvage et confidentiel d’autrefois.
Cette exposition, composée uniquement de tirages gélatino-argentiques, est le florilège de trente années de prises de vues dans ces lieux et décors revisités, mettant en scène ses modèles, que l’instant magique du déclenchement a immortalisées, dans leur jeunesse rayonnante, pour l’éternité.
On photographie bien ce que l’on aime bien et que l’on connaît bien… Bonne découverte à vous.
Plus tard, au milieu des années 70, le décor reste le même mais les orientations changent. Finies les sorties familiales : c’est l’adolescence, les premières virées en « Mob », les nuits sous la tente en camping sauvage, sur l’immensité de la plage quasiment déserte de Piémanson ou encore au petit port et sur les plages très fermés du Grau de la Dent, réservés aux Saliniers.
Quelques années plus tard, au début de la décennie 80, la voiture remplace la mobylette, la tente est désormais dans le coffre et Beauduc devient la plage tendance avec ses cabanons, ses vieilles caravanes et autobus reconvertis pour une nouvelle vie (et qui finiront sur place) le temps de week-ends et petits séjours… En plus des festivités diurnes et nocturnes, les sorties en bateau et la pêche font également partie du programme.
Une dizaine d’années plus tard, un nouvel épisode s’inscrit, court toujours et reste « gravé dans le marbre »… la photographie, la photographie de Nu ! Depuis 1994, du printemps à l’automne, les plages d’Arles restent pour lui le terrain de jeu photographique par excellence, avec des décors très variés et changeants selon la lumière et la saison.
De Beauduc à Piémanson, en plusieurs décennies, de nombreux changements se sont opérés et continuent de s’opérer, à la fois sous l’effet de l’action humaine (démolition des cabanons sur l’espace littoral, accès limités, camping sauvage interdit...) mais également climatiques (montée des eaux, plages réduites ou disparues, pistes coupées…)... la nature reprend désormais ses droits, et l’on retrouve le côté sauvage et confidentiel d’autrefois.
Cette exposition, composée uniquement de tirages gélatino-argentiques, est le florilège de trente années de prises de vues dans ces lieux et décors revisités, mettant en scène ses modèles, que l’instant magique du déclenchement a immortalisées, dans leur jeunesse rayonnante, pour l’éternité.
On photographie bien ce que l’on aime bien et que l’on connaît bien… Bonne découverte à vous.
Adresse
L' atelier de l'image -Bruno Rédarès rue du 4 septembre 13200
Téléphone
Adresse mail
contact@fepn-arles.comSite web
http://www.fepn-arles.comProgramme en attente de validation
Au début des années 60, Bruno Redares découvre, lors des sorties familiales, les plages d’Arles et les premiers plaisirs du bord de mer.
C’étaient, pour ses parents et leurs enfants, ces dimanches d’été, de belles journées de retrouvailles, de baignades et de jeux sur le sable… Bien sûr, ces souvenirs sont lointains, peu ancrés dans la mémoire des enfants, mais la photographie témoigne du début de son histoire.
Plus tard, au milieu des années 70, le décor reste le même mais les orientations changent. Finies les sorties familiales : c’est l’adolescence, les premières virées en « Mob », les nuits sous la tente en camping sauvage, sur l’immensité de la plage quasiment déserte de Piémanson ou encore au petit port et sur les plages très fermés du Grau de la Dent, réservés aux Saliniers.
Quelques années plus tard, au début de la décennie 80, la voiture remplace la mobylette, la tente est désormais dans le coffre et Beauduc devient la plage tendance avec ses cabanons, ses vieilles caravanes et autobus reconvertis pour une nouvelle vie (et qui finiront sur place) le temps de week-ends et petits séjours… En plus des festivités diurnes et nocturnes, les sorties en bateau et la pêche font également partie du programme.
Une dizaine d’années plus tard, un nouvel épisode s’inscrit, court toujours et reste « gravé dans le marbre »… la photographie, la photographie de Nu ! Depuis 1994, du printemps à l’automne, les plages d’Arles restent pour lui le terrain de jeu photographique par excellence, avec des décors très variés et changeants selon la lumière et la saison.
De Beauduc à Piémanson, en plusieurs décennies, de nombreux changements se sont opérés et continuent de s’opérer, à la fois sous l’effet de l’action humaine (démolition des cabanons sur l’espace littoral, accès limités, camping sauvage interdit...) mais également climatiques (montée des eaux, plages réduites ou disparues, pistes coupées…)... la nature reprend désormais ses droits, et l’on retrouve le côté sauvage et confidentiel d’autrefois.
Cette exposition, composée uniquement de tirages gélatino-argentiques, est le florilège de trente années de prises de vues dans ces lieux et décors revisités, mettant en scène ses modèles, que l’instant magique du déclenchement a immortalisées, dans leur jeunesse rayonnante, pour l’éternité.
On photographie bien ce que l’on aime bien et que l’on connaît bien… Bonne découverte à vous.
Plus tard, au milieu des années 70, le décor reste le même mais les orientations changent. Finies les sorties familiales : c’est l’adolescence, les premières virées en « Mob », les nuits sous la tente en camping sauvage, sur l’immensité de la plage quasiment déserte de Piémanson ou encore au petit port et sur les plages très fermés du Grau de la Dent, réservés aux Saliniers.
Quelques années plus tard, au début de la décennie 80, la voiture remplace la mobylette, la tente est désormais dans le coffre et Beauduc devient la plage tendance avec ses cabanons, ses vieilles caravanes et autobus reconvertis pour une nouvelle vie (et qui finiront sur place) le temps de week-ends et petits séjours… En plus des festivités diurnes et nocturnes, les sorties en bateau et la pêche font également partie du programme.
Une dizaine d’années plus tard, un nouvel épisode s’inscrit, court toujours et reste « gravé dans le marbre »… la photographie, la photographie de Nu ! Depuis 1994, du printemps à l’automne, les plages d’Arles restent pour lui le terrain de jeu photographique par excellence, avec des décors très variés et changeants selon la lumière et la saison.
De Beauduc à Piémanson, en plusieurs décennies, de nombreux changements se sont opérés et continuent de s’opérer, à la fois sous l’effet de l’action humaine (démolition des cabanons sur l’espace littoral, accès limités, camping sauvage interdit...) mais également climatiques (montée des eaux, plages réduites ou disparues, pistes coupées…)... la nature reprend désormais ses droits, et l’on retrouve le côté sauvage et confidentiel d’autrefois.
Cette exposition, composée uniquement de tirages gélatino-argentiques, est le florilège de trente années de prises de vues dans ces lieux et décors revisités, mettant en scène ses modèles, que l’instant magique du déclenchement a immortalisées, dans leur jeunesse rayonnante, pour l’éternité.
On photographie bien ce que l’on aime bien et que l’on connaît bien… Bonne découverte à vous.
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Du 01/07/2025 au 30/06/2026 du lundi au vendredi.
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