Site / monument
Gare Saint-Charles
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© SB Office de Tourisme Marseille Charpente et quais
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© SB Office de Tourisme Marseille Vue depuis les escaliers
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© SB Office de Tourisme Marseille Facade principale
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© SB Office de Tourisme Marseille Extérieur
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© SB Office de Tourisme Marseille Esplanade
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© SB Office de Tourisme Marseille Détail des escaliers
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© SB Office de Tourisme Marseille Charpente métallique
Gare Saint-Charles - 14094642
La gare Saint-Charles figure parmi les joyaux emblématiques de Marseille. C’est un lieu incontournable pour les arrivées et les départs des voyageurs. Son histoire est riche en rebondissements et le site est toujours concerné par des projets d’avenir.
Après 8 ans d’étude et de travail, c’est en 1848 que Marseille est raccordée au chemin de fer et notamment à la ligne PLM, Paris, Lyon, Marseille. Pour implanter la gare, on choisit des terrains qui ont encore l’avantage d’être non bâtis et qui sont situés à proximité du centre-ville et de ses principales artères comme la Canebière. Le site, en plateau, offre des avantages techniques considérables pour les ingénieurs et architectes de l’époque. En effet, le tracé du chemin de fer contourne les collines de Marseille, évitant ainsi les défis et les coûts élevés associés à la construction d’un tunnel.
Dans le contexte urbain actuel, la gare est positionnée en diagonale. Cependant, au XIXème siècle, elle était alignée avec les anciennes portes de la ville et les fortifications. A ses débuts, la gare était orientée en direction de la Porte d’Aix. On considère que la première gare date de 1852. Elle a été reconstruite en 1891. L’entrée principale se faisait par le sud (du côté du boulevard Maurice Bourdet).
L’accès à la gare, disposée en forme de U n’était pas facile. Il se faisait en trois points.
• Par une rampe d’accès pour les calèches et les voitures
• Des escaliers
• Et par le cimetière tout proche (fermé en 1876)
Lors de la reconstruction, la disposition est repensée : la forme en U est abandonnée pour un aménagement en L.. C’est aussi à ce moment-là que se repose la question de l’accessibilité. En 1911 la ville décide la création d’un escalier monumental.
La gare aujourd’hui : le pôle Marseille-St-Charles rassemble sous le même toit l'accès aux transports ferroviaires, routiers et urbains pour desservir toute la région. Aujourd'hui, le Pôle irrigue tous les modes de transport public : 16 voies dédiées au rail (TGV, Corail et TER), 20 emplacements de cars à la gare routière, 2 lignes de métro, 2 dépose-minute, station de taxi, des navettes, des mobilités douces.
L'intermodalité en chiffres : 45 000 voyageurs par jour, 300 trains par jour, 80 TGV par jour, 27 emplacements de cars et 700 rotations de cars quotidiennes, 785 places de parking situées dans les espaces intérieurs du Pôle, plus de 1000 places de parking au total (avec les espaces extérieurs).
Dans le cadre du projet de la nouvelle ligne Provence Côte d’Azur, il est envisagé de construire une gare souterraine sous la gare existante. Cette initiative vise à transformer la gare Saint-Charles en un hub dynamique et à faciliter le passage des trains en transit, tout en éliminant sa disposition “en impasse”.
S’y ajouteront la construction de nouvelles voies. Sans oublier la transformation des alentours de la gare dans le cadre du projet Euroméditerranée.
Dans le contexte urbain actuel, la gare est positionnée en diagonale. Cependant, au XIXème siècle, elle était alignée avec les anciennes portes de la ville et les fortifications. A ses débuts, la gare était orientée en direction de la Porte d’Aix. On considère que la première gare date de 1852. Elle a été reconstruite en 1891. L’entrée principale se faisait par le sud (du côté du boulevard Maurice Bourdet).
L’accès à la gare, disposée en forme de U n’était pas facile. Il se faisait en trois points.
• Par une rampe d’accès pour les calèches et les voitures
• Des escaliers
• Et par le cimetière tout proche (fermé en 1876)
Lors de la reconstruction, la disposition est repensée : la forme en U est abandonnée pour un aménagement en L.. C’est aussi à ce moment-là que se repose la question de l’accessibilité. En 1911 la ville décide la création d’un escalier monumental.
La gare aujourd’hui : le pôle Marseille-St-Charles rassemble sous le même toit l'accès aux transports ferroviaires, routiers et urbains pour desservir toute la région. Aujourd'hui, le Pôle irrigue tous les modes de transport public : 16 voies dédiées au rail (TGV, Corail et TER), 20 emplacements de cars à la gare routière, 2 lignes de métro, 2 dépose-minute, station de taxi, des navettes, des mobilités douces.
L'intermodalité en chiffres : 45 000 voyageurs par jour, 300 trains par jour, 80 TGV par jour, 27 emplacements de cars et 700 rotations de cars quotidiennes, 785 places de parking situées dans les espaces intérieurs du Pôle, plus de 1000 places de parking au total (avec les espaces extérieurs).
Dans le cadre du projet de la nouvelle ligne Provence Côte d’Azur, il est envisagé de construire une gare souterraine sous la gare existante. Cette initiative vise à transformer la gare Saint-Charles en un hub dynamique et à faciliter le passage des trains en transit, tout en éliminant sa disposition “en impasse”.
S’y ajouteront la construction de nouvelles voies. Sans oublier la transformation des alentours de la gare dans le cadre du projet Euroméditerranée.
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La gare Saint-Charles figure parmi les joyaux emblématiques de Marseille. C’est un lieu incontournable pour les arrivées et les départs des voyageurs. Son histoire est riche en rebondissements et le site est toujours concerné par des projets d’avenir.
Après 8 ans d’étude et de travail, c’est en 1848 que Marseille est raccordée au chemin de fer et notamment à la ligne PLM, Paris, Lyon, Marseille. Pour implanter la gare, on choisit des terrains qui ont encore l’avantage d’être non bâtis et qui sont situés à proximité du centre-ville et de ses principales artères comme la Canebière. Le site, en plateau, offre des avantages techniques considérables pour les ingénieurs et architectes de l’époque. En effet, le tracé du chemin de fer contourne les collines de Marseille, évitant ainsi les défis et les coûts élevés associés à la construction d’un tunnel.
Dans le contexte urbain actuel, la gare est positionnée en diagonale. Cependant, au XIXème siècle, elle était alignée avec les anciennes portes de la ville et les fortifications. A ses débuts, la gare était orientée en direction de la Porte d’Aix. On considère que la première gare date de 1852. Elle a été reconstruite en 1891. L’entrée principale se faisait par le sud (du côté du boulevard Maurice Bourdet).
L’accès à la gare, disposée en forme de U n’était pas facile. Il se faisait en trois points.
• Par une rampe d’accès pour les calèches et les voitures
• Des escaliers
• Et par le cimetière tout proche (fermé en 1876)
Lors de la reconstruction, la disposition est repensée : la forme en U est abandonnée pour un aménagement en L.. C’est aussi à ce moment-là que se repose la question de l’accessibilité. En 1911 la ville décide la création d’un escalier monumental.
La gare aujourd’hui : le pôle Marseille-St-Charles rassemble sous le même toit l'accès aux transports ferroviaires, routiers et urbains pour desservir toute la région. Aujourd'hui, le Pôle irrigue tous les modes de transport public : 16 voies dédiées au rail (TGV, Corail et TER), 20 emplacements de cars à la gare routière, 2 lignes de métro, 2 dépose-minute, station de taxi, des navettes, des mobilités douces.
L'intermodalité en chiffres : 45 000 voyageurs par jour, 300 trains par jour, 80 TGV par jour, 27 emplacements de cars et 700 rotations de cars quotidiennes, 785 places de parking situées dans les espaces intérieurs du Pôle, plus de 1000 places de parking au total (avec les espaces extérieurs).
Dans le cadre du projet de la nouvelle ligne Provence Côte d’Azur, il est envisagé de construire une gare souterraine sous la gare existante. Cette initiative vise à transformer la gare Saint-Charles en un hub dynamique et à faciliter le passage des trains en transit, tout en éliminant sa disposition “en impasse”.
S’y ajouteront la construction de nouvelles voies. Sans oublier la transformation des alentours de la gare dans le cadre du projet Euroméditerranée.
Dans le contexte urbain actuel, la gare est positionnée en diagonale. Cependant, au XIXème siècle, elle était alignée avec les anciennes portes de la ville et les fortifications. A ses débuts, la gare était orientée en direction de la Porte d’Aix. On considère que la première gare date de 1852. Elle a été reconstruite en 1891. L’entrée principale se faisait par le sud (du côté du boulevard Maurice Bourdet).
L’accès à la gare, disposée en forme de U n’était pas facile. Il se faisait en trois points.
• Par une rampe d’accès pour les calèches et les voitures
• Des escaliers
• Et par le cimetière tout proche (fermé en 1876)
Lors de la reconstruction, la disposition est repensée : la forme en U est abandonnée pour un aménagement en L.. C’est aussi à ce moment-là que se repose la question de l’accessibilité. En 1911 la ville décide la création d’un escalier monumental.
La gare aujourd’hui : le pôle Marseille-St-Charles rassemble sous le même toit l'accès aux transports ferroviaires, routiers et urbains pour desservir toute la région. Aujourd'hui, le Pôle irrigue tous les modes de transport public : 16 voies dédiées au rail (TGV, Corail et TER), 20 emplacements de cars à la gare routière, 2 lignes de métro, 2 dépose-minute, station de taxi, des navettes, des mobilités douces.
L'intermodalité en chiffres : 45 000 voyageurs par jour, 300 trains par jour, 80 TGV par jour, 27 emplacements de cars et 700 rotations de cars quotidiennes, 785 places de parking situées dans les espaces intérieurs du Pôle, plus de 1000 places de parking au total (avec les espaces extérieurs).
Dans le cadre du projet de la nouvelle ligne Provence Côte d’Azur, il est envisagé de construire une gare souterraine sous la gare existante. Cette initiative vise à transformer la gare Saint-Charles en un hub dynamique et à faciliter le passage des trains en transit, tout en éliminant sa disposition “en impasse”.
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