Sous la peau du réel
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© Jingyu Cao
Sous la peau du réel - 33571454
Depuis plusieurs années, l’ENSP est en partenariat avec la Galerie Itinérante de la Formation Universitaire Professionnalisée en Administration des Institutions Culturelles, qui propose une exposition chaque automne pour 2 ou 3 jeunes diplômés de l’ENSP.
Cette année, Jingyu Cao, Antonio Del Vecchio et Gwénolé Le Gal allient images, installations et gestes conceptuels dans une succession de récits et de formes où se mêlent réalité et légendes, mémoire et ruralité.
Jingyu Cao
Depuis l’apparition des lumières artificielles, l’équilibre entre clarté et obscurité s’est vu bouleversé. Tandis que l’énergie solaire impose son rythme de naissance et de disparition, la lumière artificielle incarne le désir humain de suspendre le temps et d’élargir l’espace.
JINGDI explore cette tension entre naturel et artificiel : machines invisibles, horizons froids, soleil créateur et destructeur. De ce conflit surgit l’image d’un « temple de l’énergie » : promesse de création ou seuil d’un effondrement irréversible?
Antonio Del Vecchio
Excorpore constitue un dialogue entre des photographies issues d’albums familiaux, une vidéo-performance et des images d’outils et d’objets de la vie quotidienne du monde rural. Ces véritables reliques de la culture paysanne invitent à réfléchir sur la mémoire, le corps et le destin de ces outils, désormais souvent remplacés par la technologie et les machines.
Gwénolé Le Gal
Marchand de nuit saisit la figure mystérieuse des charbonniers comme prisme pour regarder ce que l’on appelle aujourd’hui « la Forêt de Brocéliande ». Figure mystifiée, profondément ancrée dans l’histoire et le patrimoine local, le charbonnier vivait dans la forêt auprès de ses « fouées », sortes d’amas de bois étouffés qui brûlaient pendant près d’une semaine dans le but de créer du charbon. Ce feu interne de la fouée en évoque d’autres plus contemporains qui dévalent et avalent les forêts désormais.
Dans cet espace fragmenté, entre légendaire, ruralité et tourisme intensif, le charbonnier opère comme pont entre les temporalités et réalités de la forêt.
Jingyu Cao
Depuis l’apparition des lumières artificielles, l’équilibre entre clarté et obscurité s’est vu bouleversé. Tandis que l’énergie solaire impose son rythme de naissance et de disparition, la lumière artificielle incarne le désir humain de suspendre le temps et d’élargir l’espace.
JINGDI explore cette tension entre naturel et artificiel : machines invisibles, horizons froids, soleil créateur et destructeur. De ce conflit surgit l’image d’un « temple de l’énergie » : promesse de création ou seuil d’un effondrement irréversible?
Antonio Del Vecchio
Excorpore constitue un dialogue entre des photographies issues d’albums familiaux, une vidéo-performance et des images d’outils et d’objets de la vie quotidienne du monde rural. Ces véritables reliques de la culture paysanne invitent à réfléchir sur la mémoire, le corps et le destin de ces outils, désormais souvent remplacés par la technologie et les machines.
Gwénolé Le Gal
Marchand de nuit saisit la figure mystérieuse des charbonniers comme prisme pour regarder ce que l’on appelle aujourd’hui « la Forêt de Brocéliande ». Figure mystifiée, profondément ancrée dans l’histoire et le patrimoine local, le charbonnier vivait dans la forêt auprès de ses « fouées », sortes d’amas de bois étouffés qui brûlaient pendant près d’une semaine dans le but de créer du charbon. Ce feu interne de la fouée en évoque d’autres plus contemporains qui dévalent et avalent les forêts désormais.
Dans cet espace fragmenté, entre légendaire, ruralité et tourisme intensif, le charbonnier opère comme pont entre les temporalités et réalités de la forêt.
Programme en attente de validation
Depuis plusieurs années, l’ENSP est en partenariat avec la Galerie Itinérante de la Formation Universitaire Professionnalisée en Administration des Institutions Culturelles, qui propose une exposition chaque automne pour 2 ou 3 jeunes diplômés de l’ENSP.
Cette année, Jingyu Cao, Antonio Del Vecchio et Gwénolé Le Gal allient images, installations et gestes conceptuels dans une succession de récits et de formes où se mêlent réalité et légendes, mémoire et ruralité.
Jingyu Cao
Depuis l’apparition des lumières artificielles, l’équilibre entre clarté et obscurité s’est vu bouleversé. Tandis que l’énergie solaire impose son rythme de naissance et de disparition, la lumière artificielle incarne le désir humain de suspendre le temps et d’élargir l’espace.
JINGDI explore cette tension entre naturel et artificiel : machines invisibles, horizons froids, soleil créateur et destructeur. De ce conflit surgit l’image d’un « temple de l’énergie » : promesse de création ou seuil d’un effondrement irréversible?
Antonio Del Vecchio
Excorpore constitue un dialogue entre des photographies issues d’albums familiaux, une vidéo-performance et des images d’outils et d’objets de la vie quotidienne du monde rural. Ces véritables reliques de la culture paysanne invitent à réfléchir sur la mémoire, le corps et le destin de ces outils, désormais souvent remplacés par la technologie et les machines.
Gwénolé Le Gal
Marchand de nuit saisit la figure mystérieuse des charbonniers comme prisme pour regarder ce que l’on appelle aujourd’hui « la Forêt de Brocéliande ». Figure mystifiée, profondément ancrée dans l’histoire et le patrimoine local, le charbonnier vivait dans la forêt auprès de ses « fouées », sortes d’amas de bois étouffés qui brûlaient pendant près d’une semaine dans le but de créer du charbon. Ce feu interne de la fouée en évoque d’autres plus contemporains qui dévalent et avalent les forêts désormais.
Dans cet espace fragmenté, entre légendaire, ruralité et tourisme intensif, le charbonnier opère comme pont entre les temporalités et réalités de la forêt.
Jingyu Cao
Depuis l’apparition des lumières artificielles, l’équilibre entre clarté et obscurité s’est vu bouleversé. Tandis que l’énergie solaire impose son rythme de naissance et de disparition, la lumière artificielle incarne le désir humain de suspendre le temps et d’élargir l’espace.
JINGDI explore cette tension entre naturel et artificiel : machines invisibles, horizons froids, soleil créateur et destructeur. De ce conflit surgit l’image d’un « temple de l’énergie » : promesse de création ou seuil d’un effondrement irréversible?
Antonio Del Vecchio
Excorpore constitue un dialogue entre des photographies issues d’albums familiaux, une vidéo-performance et des images d’outils et d’objets de la vie quotidienne du monde rural. Ces véritables reliques de la culture paysanne invitent à réfléchir sur la mémoire, le corps et le destin de ces outils, désormais souvent remplacés par la technologie et les machines.
Gwénolé Le Gal
Marchand de nuit saisit la figure mystérieuse des charbonniers comme prisme pour regarder ce que l’on appelle aujourd’hui « la Forêt de Brocéliande ». Figure mystifiée, profondément ancrée dans l’histoire et le patrimoine local, le charbonnier vivait dans la forêt auprès de ses « fouées », sortes d’amas de bois étouffés qui brûlaient pendant près d’une semaine dans le but de créer du charbon. Ce feu interne de la fouée en évoque d’autres plus contemporains qui dévalent et avalent les forêts désormais.
Dans cet espace fragmenté, entre légendaire, ruralité et tourisme intensif, le charbonnier opère comme pont entre les temporalités et réalités de la forêt.
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Du 23/10 au 19/11/2025 du lundi au samedi de 12h à 16h.
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