Une galerie d'art urbain ouvre à Aix-en-Provence. Pour sa première exposition, Nest Gallery met en lumière quatre artistes aux univers singuliers :
● Amsted, l’artiste aixoise avec son onirisme apaisant.
● Ardif et sa minutie technique.
● Cofee à la calligraphie vibrante.
● Ërell et son impact graphique.

Il s'agit d'une crèche traditionnelle reconstituée avec des santons à taille humaine, sur une barquette située dans le Port Vieux de La Ciotat.
La crèche sur l'eau est illuminée en soirée.

L'inauguration aura lieu le samedi 7 décembre à partir de 18h30 avec des danses folkloriques provençales de l'Escolo de la Ribo.

En partenariat avec les associations Les Calfats de l'Escalet et Carènes.

Exposition du photographe Romain Coudrier.
Le projet « Passager » est issu d’un tour d’Europe en auto-stop. Cette itinérance qui mêle errance, rencontres et
introspection, répond aux doutes et interrogations suscitées par cinq ans de vie professionnelle qui s’était progressivement
imposée comme une voie interminable. De là, une nécessité de revenir à un caractère provisoire et spontané de la vie. Ou la
quête de ces moments suspendus où tout peut basculer et où on se prend à imaginer d’autres vies… Le rôle du passager de
fortune accueilli à la va-vite sur le bas- côté semblait taillé sur mesure.



A travers différents moments, lieux et différentes rencontres et trouvailles, je m’interroge sur le caractère éphémère de la vie
en bord de route. Qu’il s’agisse de l’attente (!), un regard, un évènement… Tout change en un battement de cil, instaurant de
fait une atmosphère passagère en toute situation.



L’auto-stop est donc simplement le mode opératoire dans la quête de ce sentiment précaire et transitoire. Car cette
expérience personnelle de la route, lieu de transition par excellence, agit comme un révélateur ; une allégorie du passage
entre l’ancien et le nouveau. Elle est ambivalente, avec ses disgrâces et ses faveurs ; une antonymie utile pour percevoir la
complexité du présent où l’imprévu modifie la tournure des choses quotidiennement.

L'exposition "Madame" retrace la vie de la peintre et la professeure Paule Christol-Peiré en une vingtaine de tableaux qui témoignent, comme autant d'étapes, de son trajet de la Seyne sur Mer où elle est née (1907) à Sausset les Pins où elle est décédée (2000).

Les pinceaux à la main, "Madame" a traversé le 20ème siècle et la France, en passant par Toulon, Méounes, St Maximin, Vauvenargues, les "Basses-Alpes", Boulogne sur Mer et même Paris où elle a exposé au Salon International dès 1934.

- Vendredi 13 décembre de 18h à 20h : décompte et lancement des illuminations par Mr le Maire.
Effets pyrotechniques, présence du Père Noël, distribution de friandises et autres surprises.

- Du 13 au 25 décembre, de 10h à 22h30 en non stop : 6 kiosques sur la place de la Libération seront décorés avec des personnages animés, de la musique, des contes et légendes sur le thème de Noël.
Tous les objets sont issus de "l'upcycling", c'est à dire qu'ils de seconde, troisième, voir de quatrième main.
6 kiosques animés d'automates et illuminés aux couleurs de Disney, Pixar et Dreamworks.

Ethnographic Op Art

Des battements de nos cœurs aux fils entrelacés de nos vies, le rythme est une force universelle qui résonne profondément en nous. Ethnographic Op Art vous invite à explorer le riche héritage des textiles folkloriques lituaniens à travers ce rythme, un concept qui relie l’artisanat traditionnel, l’art optique et les sons contemporains.

La simplicité géométrique de l’art populaire a eu une profonde influence sur les artistes modernistes comme Constantin Brancusi, Alexander Calder ou Pablo Picasso. La Lituanie n’a pas fait exception. Les textiles folkloriques, comme la célèbre tradition de l’artisanat croisé, ont été essentiels à la reconstruction de l’identité culturelle du pays depuis la fin du XIXe siècle. Ils étaient plus que de simples objets fonctionnels ; ils sont devenus des symboles de la conscience nationale et une source d’inspiration pour de nombreux artistes. Cependant, la nature fragile de ces artefacts rend difficile l’identification des origines de leurs motifs optiques.

Cette exposition remet en question les frontières conventionnelles entre l’art populaire et les beaux-arts. En nous éloignant des pratiques ethnographiques traditionnelles, nous avons choisi de reconnaître et de célébrer les tisserands individuels – souvent des femmes – derrière ces créations. En traitant ces textiles comme des œuvres d’art et en les attribuant à leurs créateurs, nous soulignons leur importance artistique et relions leurs techniques à celles explorées plus tard par les maîtres de l’Op Art dans les années 1960.

Kazys Varnelis (1917–2010), l’artiste Op le plus en vue de Lituanie, a grandi entouré d’art populaire, de motifs géométriques et de couleurs vives de textiles populaires. Son père Kazimieras était un sculpteur de figurines en bois renommé et un peintre autodidacte, tandis que sa mère Teofilė était tisserande et couturière. Ces premières expériences artistiques ont influencé les toiles optiques de Varnelis, qui fusionnent les ornements traditionnels lituaniens avec les structures industrielles modernes.

Ce dialogue entre le passé et le présent est encore enrichi par une installation sonore contemporaine de Matas Samulionis, inspirée des sons d’un métier à tisser. Ce mélange de son et de vue vous invite à découvrir une symphonie de formes optiques où la tradition et l’innovation convergent.

Comme l’a observé Kazys Varnelis, « Notre vie entière vibre au rythme ; le rythme joue un rôle important dans notre existence. » À travers cette exposition, nous célébrons le pouvoir des rythmes optiques, en reliant les tisserands anonymes du passé aux artistes modernes qui continuent de réinterpréter ces motifs. Le rythme est tout.

Les 6 kiosques sur la place de la Libération seront décorés avec des personnages animés, de la musique, des contes et légendes sur le thème de Noël.
Il seront visibles du 13 au 25 décembre, de 10h à 22h30 en non stop.
Tous les objets sont issus de "l'upcycling", c'est à dire qu'ils de seconde, troisième, voir de quatrième main.

Dix exposants-créateurs créchistes et santonniers viendront de toute la région.
Ce sont les suivants :
Santons Sevan (Gilbert et Brigitte Markoyan),
les Crèches de Damy (Damienne Roman),
Santons Campana (Stéphane Campana),
Crèches et Décors de Provence (Sylvia Roman),
Atelier les Cent Tons de Mamie (Martine Morino et Jean Baessa), Atelier d'Art Santons Pardi (Fabienne Pardi),
le Santon Créatif (Stéphane Campana),
les Ateliers Maryse Di Landro (Didier Coulomb),
Atelier de CC (Cédric Vanni),
les Santons du Cavare (Gérard Amat et Danielle Crippa).

Organisée par la Confrérie Nationale des Métiers de l'Art Santonnier créée le 7 février 2007 par la volonté de son Grand Maître Robert Maurin, santonnier à Aubagne. Les confrères possèdent toujours cette volonté farouche de défendre leur métier, leurs valeurs et la qualité de leur travail. La Confrérie est, pour l'heure, composée d'une soixantaine de santonniers venant de plusieurs départements. Ils sont intronisés au cours d'une cérémonie pour la fête de Saint-François d'Assise, dans la première semaine d'octobre.

Une partie des bénéfices des ventes de la Grande Fête du Santon sera reversée à l'association Aidons un Enfant, une association laïque, à caractère humanitaire, qui apporte un soutien médical et matériel aux enfants des pays démunis.

"Traitement photographique coloré et ludique de saynètes tauromachiques.
Symbiose forte et rude entre l'humain et l'animal : Ils jouent, se heurtent, se cherchent, se fuient dans une ambiance joyeuse de fêtes typiques de cet environnement unique empreint d'une beauté sauvage."
Manuela Noble.