Réalisée par le Comité du Vieux Marseille, l’exposition « Marseille 1938-1948 : une décennie symbolique » vous propose de revivre dix années particulièrement douloureuses pour les Marseillais. De l’incendie des Nouvelles Galeries en octobre 1938 jusqu’aux souffrances endurées pendant l’occupation allemande, 40 panneaux de documents d’époque et de photographies permettront au public de replonger dans une période cruciale qui a marqué un tournant pour Marseille.

En 1938, la ville, alors dirigée par Henri Tasso, fait face à de lourds événements et accueille dans le même temps les réfugiés espagnols fuyant la guerre civile. Puis, sous l’Occupation, rafles et privations rythment la vie des Marseillais, jusqu’à la Libération en 1944. Dès lors, un vent d’espoir souffle sur la cité phocéenne qui renaît de ses cendres et obtient le prestigieux ruban bleu pour son rythme de reconstruction.

Cette exposition, qui s’inscrit dans les programmes scolaires de CM2, 3e, 1ère et terminale, propose des visites commentées pour les groupes. Un événement qui fait écho au travail engagé par le Département, tout au long de l’année, pour le partage et la transmission du devoir de Mémoire auprès des jeunes générations.

À travers des œuvres variées, les artistes explorent nos représentations à l’âge des selfies, la dualité de nos identités professionnelles et personnelles, et la matérialisation des interactions virtuelles.

Les œuvres de cette exposition interrogent notre rapport aux réseaux sociaux, dévoilant les paradoxes de l’autoreprésentation et la frontière ténue entre réalité et fiction. En explorant et détournant des tutoriels beauté et des vidéos ASMR, les œuvres nous plongent dans un instantané de la création sur le net, et reflètent la dépendance aux notifications et l’obsession des «likes», illustrant une réalité dominée par le flux constant d’informations.

Ainsi, cette exposition offre une vision critique et poétique de notre identité numérique, de la manipulation de l’image à la quête de validation, et de la manière dont nous façonnons et sommes façonnés par les algorithmes et la culture web.



Une proposition de CHRONIQUES - Biennale des Imaginaires Numériques 2024.

En partenariat avec le Département des Bouches-du-Rhône.

Avec le soutien du Mondriaan Fund, de l’Ambassade des Pays-Bas, de Wallonie-Bruxelles International et du Centre Wallonie Bruxelles Paris.

Les artistes
Willem Popelier (NL)
Felix Côte (FR)
Rachel M. Cholz (BE)
Dries Depoorter (BE)
Ethel Lilienfeld (BE)
Caroline Delieutraz (FR)
Jenny Kristina Nilsson (SE)
Addie Wagenknecht (USA)

Trois catégories sont ouvertes : huiles-acryliques, aquarelles-pastels et sculptures.
Cette année, aucun thème spécifique n'est imposé, laissant donc place à la créativité et à l'imagination de chacun.
Voici les règles principales de participation :
Régler 16 € de droit de participation, par œuvre
Aucune copie d'œuvre originale
Pas plus de 2 œuvres par artiste, toute catégorie confondue

Une exposition plurielle regroupant une quinzaine d'artistes de grand talent. Près de 80 œuvres seront proposées au public et les techniques les plus diverses représentées : collages / peintures aérosol/huiles sur toiles/transferts photos/peintures figuratives classiques et d'autres plus abstraites. Un large choix de sensibilité proposé

L'exposition "Nos publics ont du talent" se déroule du 7 janvier au 27 février.

Plongez dans l'univers de Tartarin, le héros emblématique d'Alphonse Daudet, à travers un atelier créatif autour des calligrammes !
Cet atelier s'inscrit dans la continuité de l'exposition qui explore les multiples facettes de ce personnage fictif oscillant entre bravoure, exagération et caricature.

L'exposition intitulé "Auguste Chabaud : Du Nu Fauve à la Baigneuse en Provence (1907 - 1930) présentée au Musée Auguste Chabaud du 8 février au 11 mai 2025, rassemble une centaine d'œuvres de l'artiste, principalement des dessins, témoignant de l'intérêt qu'a eu Chabaud pour le Nu, dès son plus jeune âge à l'école des Beaux-Arts d'Avignon et de Paris ainsi qu'à l'Académie Julian en compagnie de Matisse. Cet intérêt se poursuivra jusque dans les années 1920 et 1930.

En 1909, la Baigneuse fait son apparition, cubiste à sa création, située dans un cadre bucolique, figure apaisée de la femme vénus, avec un retour affirmé vers des formes généreuses et rebondies dans les années 1920. En temps c'est la figure du nu tourmenté et prostitué de la période fauve et parisienne de l'artiste qui sera pour lui de grand intérêt mais néanmoins volontairement occulté par ses soins pour des raisons qui lui sont personnelles et découvertes seulement après sa mort.

Nous pourrons à l'occasion de cette exposition découvrir l'évolution et la métamorphose des nus de l'artiste, de la formation classique à la déconstruction du corps, du nu insolent des années fauves et cubistes au nu indolent de la maturité dans les années 1920.

La majorité des dessins de cette période sont inédits et exposés pour la première fois dans leur ensemble au public, grâce à la collaboration familiale et celle de certains fidèles prêteurs.

Yuriy RUZHITSKY (pseudonyme Georges ROUGE) est né à Kiev en 1969.
Formé à l'École des Beaux-Arts. Il vit en France depuis 2015 et est artiste professionnel. Ses peintures se trouvent dans de nombreuses collections privées à travers le monde et sont exposées dans des galeries. Il est également membre de plusieurs associations artistiques françaises, participe à de nombreuses expositions et est lauréat de concours.

Hanna RUZHYTSKA (pseudonyme Hanna ROUGE) est née à Kiev en 1974. Inspirée par la créativité de son mari, elle crée également des objets d'art.

Très engagés dans la cause Ukrainienne, ils ont décidé de donner au moins 50 % de l’argent des ventes de leurs tableaux à l’aide médicale pour leurs amis ukrainiens sur le front et leurs enfants.