Omikuji
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© Jean-Michel Daumen - Omikuji - PIC - Pôle Instrumental Contemporain - Marseille Omikuji
Omikuji - 15419571
Omikuji, opéra de chambre de Philippe Festou.
"Où il n’est pas tant question d’inventer une nouvelle musique qu’une nouvelle façon d’écouter".
I shin den shin : "de mon esprit à ton esprit" est le maître mot de cette oeuvre qui implique le public directement dans cet étrange processus créatif.
Inspiré de la méthode de divination japonaise du même nom Omikuji mais aussi des dernières théories des physiciens concernant le temps, chaque auditeur est invité à manifester secrètement une intention personnelle sur un petit papier...
Les synchronicités qui adviendront seront prétextes à interprétations personnelles et singulières comme voies possibles de réponses.
Univers sonores qui jouent sur des paramètres « élastiques » et incongrus : sons en dehors de l’espace architectural et spatialisés dans le lieu partagé, sons de l’intime, l’oeuvre polymorphe gomme les frontières entre la représentation et le réel en jouant avec nos perceptions : c’est une kairotopie.
Musique en résonances affirmées aux processus dramaturgiques du théâtre Nô autant qu’à la tradition musicale européenne ; Omikuji entremêle ainsi univers sonores concrets, archétypaux, électroniques, instrumentaux et voix enregistrées (comédien et contre-ténor).
Un dialogue qui décline les facettes de nos perceptions et des instants fugaces de la vie se déploie entre une prose nourrie par les textes sacrés du bouddhisme Zen (Shin Jin Mei, Hannya shingyo, San do kai...), par des fulgurances de haïkus et des textes gnostiques occidentaux.
Opéra de chambre, expérience perceptive, oeuvre collective, Omikuji est tout cela à la fois.
Dans le cadre du festival Vagues Sonores.
Ensemble Yin - Musiciens/performeurs
Chikako Hosoda, violon
Mayu Sato, flûtes
Philippe Festou, clarinette, électronique
Hélène Pereira, piano
Damien Louis, percussions
I shin den shin : "de mon esprit à ton esprit" est le maître mot de cette oeuvre qui implique le public directement dans cet étrange processus créatif.
Inspiré de la méthode de divination japonaise du même nom Omikuji mais aussi des dernières théories des physiciens concernant le temps, chaque auditeur est invité à manifester secrètement une intention personnelle sur un petit papier...
Les synchronicités qui adviendront seront prétextes à interprétations personnelles et singulières comme voies possibles de réponses.
Univers sonores qui jouent sur des paramètres « élastiques » et incongrus : sons en dehors de l’espace architectural et spatialisés dans le lieu partagé, sons de l’intime, l’oeuvre polymorphe gomme les frontières entre la représentation et le réel en jouant avec nos perceptions : c’est une kairotopie.
Musique en résonances affirmées aux processus dramaturgiques du théâtre Nô autant qu’à la tradition musicale européenne ; Omikuji entremêle ainsi univers sonores concrets, archétypaux, électroniques, instrumentaux et voix enregistrées (comédien et contre-ténor).
Un dialogue qui décline les facettes de nos perceptions et des instants fugaces de la vie se déploie entre une prose nourrie par les textes sacrés du bouddhisme Zen (Shin Jin Mei, Hannya shingyo, San do kai...), par des fulgurances de haïkus et des textes gnostiques occidentaux.
Opéra de chambre, expérience perceptive, oeuvre collective, Omikuji est tout cela à la fois.
Dans le cadre du festival Vagues Sonores.
Ensemble Yin - Musiciens/performeurs
Chikako Hosoda, violon
Mayu Sato, flûtes
Philippe Festou, clarinette, électronique
Hélène Pereira, piano
Damien Louis, percussions
Poi informations
Adresse
PIC - Pôle Instrumental Contemporain - Marseille
36 Montée Antoine Castejon
13016
Site web
http://www.ensemble-telemaque.com
Programme en attente de validation
Omikuji, opéra de chambre de Philippe Festou.
"Où il n’est pas tant question d’inventer une nouvelle musique qu’une nouvelle façon d’écouter".
I shin den shin : "de mon esprit à ton esprit" est le maître mot de cette oeuvre qui implique le public directement dans cet étrange processus créatif.
Inspiré de la méthode de divination japonaise du même nom Omikuji mais aussi des dernières théories des physiciens concernant le temps, chaque auditeur est invité à manifester secrètement une intention personnelle sur un petit papier...
Les synchronicités qui adviendront seront prétextes à interprétations personnelles et singulières comme voies possibles de réponses.
Univers sonores qui jouent sur des paramètres « élastiques » et incongrus : sons en dehors de l’espace architectural et spatialisés dans le lieu partagé, sons de l’intime, l’oeuvre polymorphe gomme les frontières entre la représentation et le réel en jouant avec nos perceptions : c’est une kairotopie.
Musique en résonances affirmées aux processus dramaturgiques du théâtre Nô autant qu’à la tradition musicale européenne ; Omikuji entremêle ainsi univers sonores concrets, archétypaux, électroniques, instrumentaux et voix enregistrées (comédien et contre-ténor).
Un dialogue qui décline les facettes de nos perceptions et des instants fugaces de la vie se déploie entre une prose nourrie par les textes sacrés du bouddhisme Zen (Shin Jin Mei, Hannya shingyo, San do kai...), par des fulgurances de haïkus et des textes gnostiques occidentaux.
Opéra de chambre, expérience perceptive, oeuvre collective, Omikuji est tout cela à la fois.
Dans le cadre du festival Vagues Sonores.
Ensemble Yin - Musiciens/performeurs
Chikako Hosoda, violon
Mayu Sato, flûtes
Philippe Festou, clarinette, électronique
Hélène Pereira, piano
Damien Louis, percussions
I shin den shin : "de mon esprit à ton esprit" est le maître mot de cette oeuvre qui implique le public directement dans cet étrange processus créatif.
Inspiré de la méthode de divination japonaise du même nom Omikuji mais aussi des dernières théories des physiciens concernant le temps, chaque auditeur est invité à manifester secrètement une intention personnelle sur un petit papier...
Les synchronicités qui adviendront seront prétextes à interprétations personnelles et singulières comme voies possibles de réponses.
Univers sonores qui jouent sur des paramètres « élastiques » et incongrus : sons en dehors de l’espace architectural et spatialisés dans le lieu partagé, sons de l’intime, l’oeuvre polymorphe gomme les frontières entre la représentation et le réel en jouant avec nos perceptions : c’est une kairotopie.
Musique en résonances affirmées aux processus dramaturgiques du théâtre Nô autant qu’à la tradition musicale européenne ; Omikuji entremêle ainsi univers sonores concrets, archétypaux, électroniques, instrumentaux et voix enregistrées (comédien et contre-ténor).
Un dialogue qui décline les facettes de nos perceptions et des instants fugaces de la vie se déploie entre une prose nourrie par les textes sacrés du bouddhisme Zen (Shin Jin Mei, Hannya shingyo, San do kai...), par des fulgurances de haïkus et des textes gnostiques occidentaux.
Opéra de chambre, expérience perceptive, oeuvre collective, Omikuji est tout cela à la fois.
Dans le cadre du festival Vagues Sonores.
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Chikako Hosoda, violon
Mayu Sato, flûtes
Philippe Festou, clarinette, électronique
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Dimanche 16 avril 2023 à 15h30.
Plein tarif : de 5 à 12 €.
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