L’été des charognes
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© DR - Bellamy Spectacle L'été des charognes
L’été des charognes - 23304954
Simon Johannin est écrivain et poète, auteur de trois recueils de poésie et de quatre romans.
Hubert Colas porte à la scène le premier roman de Simon Johannin. Thierry Raynaud, en homme sans âge, incarne à la perfection le protagoniste, dans cette zone trouble et déterminante du passage de l’enfance à l’adolescence. Seul en scène, entre une table et un écran, il déverse avec une oralité percutante ce texte carnassier.
A La Fourrière, ce « village de nulle part », enfants, adultes et bêtes se côtoient dans un quotidien âpre où l’ennui est de rigueur. Alors, pour les plus jeunes, tout devient terrain de jeu, même les bêtes que l’on tue et qu’on laisse pourrir à la chaleur du soleil. Ici, la violence réelle ou symbolique, règne en maître dans l’apprentissage de la vie. Massacrer le chien de ‘‘la grosse conne de voisine’’, tuer le cochon avec les hommes du village, s’amuser au ‘‘jeu de l’arabe’’, rendre les coups et éviter ceux des parents… Dans ce flot d’anecdotes crues, les mots résonnent comme des déflagrations. L’on en vient à sentir les odeurs de foin, d’alcool, de sang et de carcasse ; à éprouver l’ennui et la solitude qui irriguent le lieu-dit.
Des divertissements de l’enfance jusqu’aux portes de l’adolescence, ce sombre récit de la ruralité nous porte dans les méandres d’une quête de soi cynique et drôle. Bientôt la campagne finit par s’éloigner, ne laissant dans le rétroviseur que son souvenir. Marqué au fer rouge.
Avec Thierry Raynaud
Texte Simon Johannin
Mise en scène et scénographie Hubert Colas
A La Fourrière, ce « village de nulle part », enfants, adultes et bêtes se côtoient dans un quotidien âpre où l’ennui est de rigueur. Alors, pour les plus jeunes, tout devient terrain de jeu, même les bêtes que l’on tue et qu’on laisse pourrir à la chaleur du soleil. Ici, la violence réelle ou symbolique, règne en maître dans l’apprentissage de la vie. Massacrer le chien de ‘‘la grosse conne de voisine’’, tuer le cochon avec les hommes du village, s’amuser au ‘‘jeu de l’arabe’’, rendre les coups et éviter ceux des parents… Dans ce flot d’anecdotes crues, les mots résonnent comme des déflagrations. L’on en vient à sentir les odeurs de foin, d’alcool, de sang et de carcasse ; à éprouver l’ennui et la solitude qui irriguent le lieu-dit.
Des divertissements de l’enfance jusqu’aux portes de l’adolescence, ce sombre récit de la ruralité nous porte dans les méandres d’une quête de soi cynique et drôle. Bientôt la campagne finit par s’éloigner, ne laissant dans le rétroviseur que son souvenir. Marqué au fer rouge.
Avec Thierry Raynaud
Texte Simon Johannin
Mise en scène et scénographie Hubert Colas
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Adresse
Le Zef - Scène Nationale de Marseille - À cour - Site du Merlan
Avenue Raimu
13014
Programme en attente de validation
Simon Johannin est écrivain et poète, auteur de trois recueils de poésie et de quatre romans.
Hubert Colas porte à la scène le premier roman de Simon Johannin. Thierry Raynaud, en homme sans âge, incarne à la perfection le protagoniste, dans cette zone trouble et déterminante du passage de l’enfance à l’adolescence. Seul en scène, entre une table et un écran, il déverse avec une oralité percutante ce texte carnassier.
A La Fourrière, ce « village de nulle part », enfants, adultes et bêtes se côtoient dans un quotidien âpre où l’ennui est de rigueur. Alors, pour les plus jeunes, tout devient terrain de jeu, même les bêtes que l’on tue et qu’on laisse pourrir à la chaleur du soleil. Ici, la violence réelle ou symbolique, règne en maître dans l’apprentissage de la vie. Massacrer le chien de ‘‘la grosse conne de voisine’’, tuer le cochon avec les hommes du village, s’amuser au ‘‘jeu de l’arabe’’, rendre les coups et éviter ceux des parents… Dans ce flot d’anecdotes crues, les mots résonnent comme des déflagrations. L’on en vient à sentir les odeurs de foin, d’alcool, de sang et de carcasse ; à éprouver l’ennui et la solitude qui irriguent le lieu-dit.
Des divertissements de l’enfance jusqu’aux portes de l’adolescence, ce sombre récit de la ruralité nous porte dans les méandres d’une quête de soi cynique et drôle. Bientôt la campagne finit par s’éloigner, ne laissant dans le rétroviseur que son souvenir. Marqué au fer rouge.
Avec Thierry Raynaud
Texte Simon Johannin
Mise en scène et scénographie Hubert Colas
A La Fourrière, ce « village de nulle part », enfants, adultes et bêtes se côtoient dans un quotidien âpre où l’ennui est de rigueur. Alors, pour les plus jeunes, tout devient terrain de jeu, même les bêtes que l’on tue et qu’on laisse pourrir à la chaleur du soleil. Ici, la violence réelle ou symbolique, règne en maître dans l’apprentissage de la vie. Massacrer le chien de ‘‘la grosse conne de voisine’’, tuer le cochon avec les hommes du village, s’amuser au ‘‘jeu de l’arabe’’, rendre les coups et éviter ceux des parents… Dans ce flot d’anecdotes crues, les mots résonnent comme des déflagrations. L’on en vient à sentir les odeurs de foin, d’alcool, de sang et de carcasse ; à éprouver l’ennui et la solitude qui irriguent le lieu-dit.
Des divertissements de l’enfance jusqu’aux portes de l’adolescence, ce sombre récit de la ruralité nous porte dans les méandres d’une quête de soi cynique et drôle. Bientôt la campagne finit par s’éloigner, ne laissant dans le rétroviseur que son souvenir. Marqué au fer rouge.
Avec Thierry Raynaud
Texte Simon Johannin
Mise en scène et scénographie Hubert Colas
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Mardi 13 mai 2025 à 20h.
Plein tarif : 15 €, Tarif réduit : de 3 à 10 € (3€ minima sociaux
7 € embarquement réduit
10 € Embarquement plein), Enfant : 5 € (Moins de 18 ans).
7 € embarquement réduit
10 € Embarquement plein), Enfant : 5 € (Moins de 18 ans).