Peine perdue, pieds retrouvés
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© © ADAGP Paris 2022
Peine perdue, pieds retrouvés - 15719909
Au 3 bis f, Cynthia Lefebvre fait du corps un appareil de relation où fragilité rime avec flexibilité. C’est un espace de circulations, parcouru de flux, de liens, d’articulations.
Avec le corps pour principal outil d’investigation, la pratique de Cynthia Lefebvre s’inscrit dans un rapport au temps étiré et ralenti, propice au déplacement de nos attentions.
A la fois instrument, filtre et réceptacle, ce corps est lieu de coexistences. Il est contenu et contenant, singulier mais partagé, ni tout à fait dedans, ni totalement dehors.
En le situant quelque part entre os et eau, celui-ci est pensé comme un échafaudage fragile, zone de passage(s) et de mémoire. Un corps qui a absorbé, qui a compilé. Avec des vides, des pleins, des débordements. Un corps qui fait avec l’accueil, les abandons, les pertes, l’absence. Un corps qui fait avec tous les corps qu’il contient. Qui perd pied(s), pour mieux les retrouver.
Vernissage de l'exposition le 4 février à 11h.
A la fois instrument, filtre et réceptacle, ce corps est lieu de coexistences. Il est contenu et contenant, singulier mais partagé, ni tout à fait dedans, ni totalement dehors.
En le situant quelque part entre os et eau, celui-ci est pensé comme un échafaudage fragile, zone de passage(s) et de mémoire. Un corps qui a absorbé, qui a compilé. Avec des vides, des pleins, des débordements. Un corps qui fait avec l’accueil, les abandons, les pertes, l’absence. Un corps qui fait avec tous les corps qu’il contient. Qui perd pied(s), pour mieux les retrouver.
Vernissage de l'exposition le 4 février à 11h.
Poi informations
Adresse
3 bis f, lieu d'arts contemporains
Hôpital Montperrin
109 Avenue Du Petit Barthélémy 13617
109 Avenue Du Petit Barthélémy 13617
Téléphone
04 42 16 17 75
Adresse mail
reservation@3bisf.com
Programme en attente de validation
Au 3 bis f, Cynthia Lefebvre fait du corps un appareil de relation où fragilité rime avec flexibilité. C’est un espace de circulations, parcouru de flux, de liens, d’articulations.
Avec le corps pour principal outil d’investigation, la pratique de Cynthia Lefebvre s’inscrit dans un rapport au temps étiré et ralenti, propice au déplacement de nos attentions.
A la fois instrument, filtre et réceptacle, ce corps est lieu de coexistences. Il est contenu et contenant, singulier mais partagé, ni tout à fait dedans, ni totalement dehors.
En le situant quelque part entre os et eau, celui-ci est pensé comme un échafaudage fragile, zone de passage(s) et de mémoire. Un corps qui a absorbé, qui a compilé. Avec des vides, des pleins, des débordements. Un corps qui fait avec l’accueil, les abandons, les pertes, l’absence. Un corps qui fait avec tous les corps qu’il contient. Qui perd pied(s), pour mieux les retrouver.
Vernissage de l'exposition le 4 février à 11h.
A la fois instrument, filtre et réceptacle, ce corps est lieu de coexistences. Il est contenu et contenant, singulier mais partagé, ni tout à fait dedans, ni totalement dehors.
En le situant quelque part entre os et eau, celui-ci est pensé comme un échafaudage fragile, zone de passage(s) et de mémoire. Un corps qui a absorbé, qui a compilé. Avec des vides, des pleins, des débordements. Un corps qui fait avec l’accueil, les abandons, les pertes, l’absence. Un corps qui fait avec tous les corps qu’il contient. Qui perd pied(s), pour mieux les retrouver.
Vernissage de l'exposition le 4 février à 11h.
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Du 03/02 au 06/05/2023, tous les mardis, mercredis, jeudis, vendredis et samedis de 14h à 18h.
Fermeture du 24 au 30 avril.
Fermeture du 24 au 30 avril.
Gratuit.
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