Les langues de Souleymane Bachir Diagne
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© DR-Des Livres comme des Idées Les Nouvelles Rencontres d'Averroès 2025
Les langues de Souleymane Bachir Diagne - 33665926
Cette année, les Nouvelles Rencontres d’Averroès se penchent sur l’importance de la parole et du dialogue en empruntant trois voies : la conversation, la négociation et la traduction.
Comment faire humanité ensemble ? Telle est la question qui anime Souleymane Bachir Diagne et nourrit le travail de ce philosophe majeur. Retraité depuis peu de l’université de Columbia, à New York, où il enseignait dans les départements d’études francophones et de philosophie et dirigeait l’Institut d’études africaines, Souleymane Bachir Diagne a mené sa vie entre le Sénégal, la France et les États-Unis. Le soufisme, la pensée de Bergson, l’œuvre de Sartre et l’engagement de Senghor font partie des multiples sources de sa propre réflexion.
A cet égard, la Méditerranée, espace historique de métissages et de pluralismes, incarne pour lui une géographie intellectuelle où se croisent influences africaines, européennes et islamiques.
Auteur d’ouvrages sur la philosophie des sciences et la philosophie de l’Islam, Souleymane Bachir Diagne a développé ces dernières années une philosophie de la traduction qui exprime un universel qui n’est pas universalisme. Il nous invite alors à « penser le pluriel et le décentrement du monde contre une configuration qui en ferait une juxtaposition de centrismes, séparatistes par définition : un monde de tribus ».
Grand entretien animé par Chloë Cambreling (Nouvelles Rencontres d’Averroès)
A cet égard, la Méditerranée, espace historique de métissages et de pluralismes, incarne pour lui une géographie intellectuelle où se croisent influences africaines, européennes et islamiques.
Auteur d’ouvrages sur la philosophie des sciences et la philosophie de l’Islam, Souleymane Bachir Diagne a développé ces dernières années une philosophie de la traduction qui exprime un universel qui n’est pas universalisme. Il nous invite alors à « penser le pluriel et le décentrement du monde contre une configuration qui en ferait une juxtaposition de centrismes, séparatistes par définition : un monde de tribus ».
Grand entretien animé par Chloë Cambreling (Nouvelles Rencontres d’Averroès)
Adresse
La Criée - Théâtre National de Marseille 30 quai de Rive Neuve 13007
Programme en attente de validation
Cette année, les Nouvelles Rencontres d’Averroès se penchent sur l’importance de la parole et du dialogue en empruntant trois voies : la conversation, la négociation et la traduction.
Comment faire humanité ensemble ? Telle est la question qui anime Souleymane Bachir Diagne et nourrit le travail de ce philosophe majeur. Retraité depuis peu de l’université de Columbia, à New York, où il enseignait dans les départements d’études francophones et de philosophie et dirigeait l’Institut d’études africaines, Souleymane Bachir Diagne a mené sa vie entre le Sénégal, la France et les États-Unis. Le soufisme, la pensée de Bergson, l’œuvre de Sartre et l’engagement de Senghor font partie des multiples sources de sa propre réflexion.
A cet égard, la Méditerranée, espace historique de métissages et de pluralismes, incarne pour lui une géographie intellectuelle où se croisent influences africaines, européennes et islamiques.
Auteur d’ouvrages sur la philosophie des sciences et la philosophie de l’Islam, Souleymane Bachir Diagne a développé ces dernières années une philosophie de la traduction qui exprime un universel qui n’est pas universalisme. Il nous invite alors à « penser le pluriel et le décentrement du monde contre une configuration qui en ferait une juxtaposition de centrismes, séparatistes par définition : un monde de tribus ».
Grand entretien animé par Chloë Cambreling (Nouvelles Rencontres d’Averroès)
A cet égard, la Méditerranée, espace historique de métissages et de pluralismes, incarne pour lui une géographie intellectuelle où se croisent influences africaines, européennes et islamiques.
Auteur d’ouvrages sur la philosophie des sciences et la philosophie de l’Islam, Souleymane Bachir Diagne a développé ces dernières années une philosophie de la traduction qui exprime un universel qui n’est pas universalisme. Il nous invite alors à « penser le pluriel et le décentrement du monde contre une configuration qui en ferait une juxtaposition de centrismes, séparatistes par définition : un monde de tribus ».
Grand entretien animé par Chloë Cambreling (Nouvelles Rencontres d’Averroès)
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Samedi 22 novembre 2025 à partir de 18h.
Gratuit. Entrée libre, réservation conseillée.
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