La Fondation Saint-John Perse conserve et met en valeur les collections léguées en 1975 à la ville d'Aix-en-Provence par le poète prix Nobel de littérature 1960.

Né en 1887 à Pointe à Pitre en Guadeloupe, mort à Giens en 1975, Alexis Leger, diplomate "grand ouvrier" de l'Europe, est plus connu sous le nom de plume de Saint-John Perse.

Ces collections rassemblent plus de 15 000 documents. La Fondation met en valeur ce patrimoine par des expositions régulières.

Sur place, une bibliothèque de recherche, une salle d'exposition, une maison d'édition, un lieu ouvert pour toutes les formes d'art illustrant la création poétique : rencontres avec des écrivains, expositions d'art contemporain, lectures, conférences, colloques.

La Fondation est située à proximité du centre-ville, à quelques pas de la gare routière, à l'intérieur de la Cité du Livre, face à la section adultes de la Bibliothèque Méjanes.

La Cité du Livre est entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite.
Surface de l'exposition permanente : 76
Surface de l'exposition temporaire : 76

Le Rose Bar du Pigonnet vous accueille tous les jours de 12h à 00h (jusqu'à 1h en saison) dans un décor raffiné repensé par Jacques Garcia. Entre tradition et modernité, sa carte propose des cocktails d'hier subtilement revisités pour enchanter les palais d'aujourd'hui.

Expositions, spectacles pour grands et petits, concerts, pièce de théâtre, danse, musique... Vous aurez le choix de vous distraire tout en vous cultivant! Le Centre de Développement Culturel vous propose aussi tout type d'activités et pour tout âge: cours de danse, de langue, zumba, yoga, arts plastiques... n'hésitez pas à demander le programme!!

Geste architectural fort, le Grand Théâtre de Provence c'est :
- une salle de spectacles à la capacité modulable (1259 à 1366 places)
- une fosse d'orchestre pouvant accueillir jusqu'à 105 musiciens, une scène de 32 x 15m, une grande salle et des studios de répétition
- des espaces publics : patio, hall d'accueil et 6 000 m2 de terrasses

Toutes les musiques, pour tous les publics. Le Grand Théâtre de Provence propose dans sa saison la musique sous toutes ses formes (classique, baroque, opéra, récital, grands interprètes, jazz, world, chanson), de la danse et des spectacles jeune public.
La première saison s'était ouverte avec un récital de Jessye Norman le 1er décembre 2007.

Des visites mensuelles du théâtre sont proposées tous les premiers samedis du mois à 11h30 : visite gratuite sur réservation.

Au sein du GTP, se trouve le Teddy Bar, à l'ambiance feutrée d'un club anglais, ouvert tous les soirs de représentation à partir de 19h et une heure après les spectacles. Deux bars d'entracte sont également au sein du Grand Théâtre de Provence.

Louer le Grand Théâtre de Provence, c'est possible pour des opérations de relations publiques, des soirées prestige ou spécifiques autour d'un spectacle... Le lieu possède notamment un auditorium et une salle d'exposition.

Équipements Handicap : boucle magnétique et accessible aux personnes à mobilité réduite.

Ouvert 7/7 de 10h à 3h (4h les vendredis, samedis et veilles de jours fériés)

Jeux de table ouverts tous les jours dès 20h.

+200 machines à sous, Roulettes et Black Jack Electroniques, Tables de jeux (Roulette Anglaise, Black Jack, Roulette Française, Craps, Ultimate Poker).

2 Espaces de jeux extérieurs.


Bar & restaurant Lounge O'zé
Profitez de l'espace lounge pour partager un moment convivial : concerts live, retransmissions d'événements sportifs...

Ouverture de nos terrasses extérieures dès le mois de juin pour siroter un cocktail ou dîner sous les étoiles avec vue sur le château de Cassis !

Vous êtes à la recherche d'un lieu original et festif ?
Organisez vos événements privés ou professionnels au casino Barrière de Cassis.. Des espaces vous sont proposés pour répondre à vos attentes.

Au Pavillon Noir vous pouvez tout au long de l'année :
- voir les spectacles d'Angelin Preljocaj et ceux des compagnies invitées,
- participer à des visites commentées du Pavillon Noir (entrée libre). Ces visites peuvent également être traduites par un interprète LSF (Langue des Signes Française).
- assister à des rendez-vous autour des spectacles (entrée libre) : répétitions publiques, studios ouverts avec des artistes, vidéodanse...
- pratiquer la danse en tant que professionnels avec les cours quotidiens des danseurs du Ballet Preljocaj (sur réservation) ou en tant qu'amateurs lors des stages programmés,
- assister à une intervention du Groupe Urbain d'Intervention Dansée (G.U.I.D.)
- prolonger votre plaisir avec les articles proposés par la Boutique du Ballet Preljocaj (sur place ou en ligne)
- se restaurer au Bar Le Richild en dégustant les petits plats de saison du traiteur Mana (ouvert 1h avant chaque spectacle)

En lieu et place de l'ancienne salle des fêtes et inaugurée le 11 janvier 2014, la salle de spectacles Guy OBINO, offre 4 configurations possibles permettant d'accueillir divers événements :
750 places assises. 1000 places débout (spectacles). 1000 places assises en mode banquet. un espace d'expositions, baptisé "la salle des pas perdus".

Pour les spectacles, tout a été conçu afin de recevoir les artistes dans des conditions optimales : scène de 80 cm de hauteur et de 100 m2 de surface, espace dédié aux loges.

Sa salle de 176 places rénovée en mai 2012, que le parc du Domaine, pour y flâner avant ou après un spectacle.
Le théâtre accueille en moyenne une trentaine de spectacles sur la saison : théâtre, danse, musique. Tous les genres y sont représentés.
Le parc de Fontblanche accueille lui aussi divers évènements : chapiteaux et installations diverses y trouvent leur place, tout comme les festivals qui y sont programmés aux beaux jours : Festi’Pitchou, Dub Station Festival, Charlie Free Festival, Jardin sonore Festival…

Le PASINO GRAND dispose également d'espaces pouvant accueillir tous vos événements ! Découvrez une atmosphère puissante, captivante, lumineuse ... alliant chic, élégance et modernité à travers des textures et des tonalités dorées. Une expérience unique, immersive et interactive : bienvenue au Pasino 2.0 !

Retrouvez dans un décor d'or et de noir, la table du GRANDioz, l'épicentre d'un voyage culinaire dans une ambiance conviviale et cosy. Au coeur d'un design moderne, formé de divers îlots, cette nouvelle table s'intègre parfaitement au nouveau concept en offrant une continuité gustative à l'expérience du " Pasino GRAND ". L'évasion et l'originalité sont au rendez-vous grâce à sa cuisine accessible et créative.

Faites-vous accompagner et conseiller pour l'organisation de tous vos événements : journées d'étude, assemblées, cocktails, dîners de gala, soirées dansantes etc. D'une surface globale de près de 1000 m², la SALLE DE SPECTACLE est modulable, cloisonnable et propose de nombreuses configurations pour répondre au mieux à vos besoins.

Outre la promesse d'une expérience de jeu unique, le Pasino GRAND propose un voyage au coeur d'une toute nouvelle atmosphère... " La Black Box " sera le premier contact du joueur avec le Pasino " nouvelle génération ", où il pourra interagir directement avec l'écran géant et commencer à jouer avec l'environnement digital grâce à ses mouvements. Découvrez une zone baptisée " Les jeux du Futur ", un parc de postes de roulettes anglaises et Black Jack électroniques, un espace de jeu de 1000 m² dominé par une fresque digitale monumentale.

Construit au XVIe et au XVIIe siècles, le vaste quadrilatère de l’hôtel-Dieu s’inscrit dans un double contexte : un période de prospérité et de modernisation de la ville d’une part, une tradition hospitalière locale déjà bien affirmée d’autre part. En 1835, trois ailes sont surélevées afin d’ouvrir de nouvelles salles, suite à une très grave épidémie de choléra. L’hôpital a reçu à la fin de XIXe siècle, un hôte remarquable : Vincent Van Gogh, qui l’a représenté dans plusieurs de ses toiles. L’établissement fonctionnera jusqu’aux années 1970-1980. A cette date, l’hôpital désaffecté fait l’objet d’une vaste réhabilitation pour en faire un espace culturel et universitaire d’envergure. A cette occasion, des fouilles ont exhumé du sous-sol du site des traces du plus haut intérêt pour la connaissance de la ville, et ce depuis la protohistoire.

Les bâtiments forment un quadrilatère qui encadre un jardin. Le rez-de-chaussée s’ouvre sur l’extérieur par des arcades qui bordent une galerie de circulation, également présente au deuxième étage. Les façades sont sévères, avec des ouvertures de petites tailles, selon le modèle des hôpitaux de l’époque : l’hôpital est un lieu fermé qui ne doit pas transmettre de « miasmes » dangereux à l’extérieur. L’ensemble était surmonté de grenier avec charpente à fermes (assemblages de pièces destinées à porter le faîtage) et entraits (poutres horizontales qui maintiennent les poutres obliques des pans du toit). Le rez-de-chaussée du bâtiment ouest regroupait les services d’intendance : cuisine équipée d’une immense cheminée, buanderie, lingerie, et autres locaux utilitaires. L’entrée principale de l’hôpital se trouvait dans l’actuelle rue Dulau. Reconstruite en 1587 par Antoine Pons, la porte de bois massif serait de pitchpin (mélange d’espèces de pins d’Amérique du Nord). Elle est encadrée par deux colonnes doriques cannelées et surmontées d’un fronton triangulaire. Au-dessus, une inscription commémore la date de construction de l’édifice. Ce portail est classé Monument historique.

HISTORIQUE
En 1542, l’archevêque d’Arles décide la fermeture des 32 établissements charitables de la ville et leur regroupement en un seul, au centre de la cité. Ce premier projet demeura en suspens à la mort du prélat. Une politique de reconquête du sol est cependant poursuivie, en partie notamment sur l’immense domaine des Trinitaires. La première pierre est posée en 1573. La construction de l’hôtel-dieu s’étalera sur deux siècles : le XVIe pour les ailes nord et ouest, et le XVIIe pour les deux autres (œuvres de Jacques Peytret). La mission du nouvel établissement (accueil de tous les malades, des enfants abandonnés ou orphelins) pu être assurée principalement grâce à de généreux donateurs, aux revenus fonciers de l’hôpital et aux aides de la ville. Le personnel était composé de laïques et de religieux, soignants, administratifs, domestiques et artisans. Deux curés assistaient les mourants. A partir de 1664, les soins aux malades furent confiés aux religieuses hospitalières de l’ordre de Saint-Augustin. En 1888 et 1889,Vincent Van Gogh y fit de courts séjours, soigné par le docteur Félix Rey, avant d’être interné à Saint-Rémy-de-Provence. Au début du XXe siècle, l’édifice est profondément modifié lors d’une remise aux normes sanitaires. L’hôtel-Dieu restera en fonction jusqu’en 1974, remplacé par le centre hospitalier Joseph-Imbert. En 1986, les derniers services médicaux quitteront le site qui sera alors transformé en espace culturel.

En 1986 commence les travaux de mise à nu de l’hôpital afin de le transformer en vaste espace culturel destiné à accueillir une médiathèque, les Archives communales, le Collège International des Traducteurs Littéraires (C.I.T.L.), l’antenne universitaire, une vaste salle d’exposition, ainsi que quelques commerces. Un concours désigna Denis Froidevaux et Jean-Louis Tétrel pour réaliser la réhabilitation. Les deux architectes s’appuieront sur des recherches d’archives et sur les découvertes d’un pré-chantier, pour adapter leur projet à l’histoire et à la structure initiale de l’édifice. Outre cette dernière, et le passé médiéval du site, des fouilles extrêmement fructueuses ont permit la mise à jour, entre autre, d’une importante esplanade romaine (précisant une donnée inconnue de la trame urbaine antique), ainsi que d’une nécropole protohistorique. A l’occasion de cette vaste opération, la porte de la rue Dulau a été également restaurée en 1988 par Férignac.